/*@jsxRuntime automatic @jsxImportSource react*/
const {Fragment: _Fragment, jsx: _jsx, jsxs: _jsxs} = arguments[0];
const {useMDXComponents: _provideComponents} = arguments[0];
function _createMdxContent(props) {
const _components = Object.assign({
p: "p"
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if (!BackToTop) _missingMdxReference("BackToTop", true);
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children: _jsx(_components.p, {
children: "← Retour à la présentation"
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children: "Histoire de la Triumph TR4 (1961-1965)"
}), _jsx("p", {
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children: _jsx(_components.p, {
children: "L'Élégance Sportive Anglaise - La Triumph TR4 incarne l'évolution audacieuse des roadsters sportifs britanniques dans les années 1960, alliant un design novateur à des performances solides."
})
})]
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children: "Un contexte de mutation automobile dans les années 60"
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children: [_jsx("h3", {
children: "L'héritage Triumph"
}), _jsx("div", {
children: _jsx(_components.p, {
children: "Au début de cette décennie, Triumph Motor Company jouit d'une solide réputation sur le segment des roadsters,\nnotamment grâce au succès de ses modèles TR2 et TR3. Ces derniers avaient établi la marque comme un acteur\nmajeur dans la production de voitures de sport à la fois performantes et abordables."
})
}), _jsx("div", {
children: _jsx(_components.p, {
children: "Cependant, le marché évolue rapidement. La concurrence s'intensifie et les attentes des consommateurs se transforment :\nils désirent plus de confort, une meilleure sécurité et des performances toujours plus affûtées, sans pour autant\nsacrifier l'âme sportive emblématique des roadsters anglais."
})
}), _jsx("div", {
children: _jsx(_components.p, {
children: "Triumph se trouve alors face au défi de moderniser sa gamme, en intégrant les innovations de l'époque\ntout en préservant l'identité qui a fait son succès."
})
})]
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children: "La gamme Triumph en 1960"
}), _jsxs("ul", {
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children: [_jsx("li", {
children: "• Triumph TR2 : le roadster sportif originel"
}), _jsx("li", {
children: "• Triumph TR3 : version améliorée avec freins à disque"
}), _jsx("li", {
children: "• Triumph TR3A : dernière itération de cette série à succès"
}), _jsxs("li", {
children: ["• ", _jsx("b", {
children: "Besoin pressant de renouveler l'offre avec un modèle plus contemporain"
})]
})]
})]
})]
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children: [_jsx("h3", {
children: "Le projet de renaissance : modernité et collaboration italienne"
}), _jsx("div", {
children: _jsx(_components.p, {
children: "En 1960, Triumph lance un projet d'envergure : concevoir un roadster de nouvelle génération qui prendra\nla relève des TR2 et TR3. L'objectif est clair : insuffler modernité et confort tout en conservant\nl'ADN sportif de la marque."
})
}), _jsx("div", {
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children: _jsxs(_components.p, {
children: ["Pour concrétiser cette vision, Triumph se tourne vers l'Italie et fait appel à ", _jsx("b", {
children: "Giovanni Michelotti"
}), ",\nun carrossier renommé, célèbre pour ses créations audacieuses et avant-gardistes. Cette collaboration\nmarque un tournant stylistique pour les roadsters britanniques."]
})
})]
})]
})
})
}), "\n", _jsx("section", {
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children: _jsxs("div", {
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children: [_jsx("h2", {
children: "1961 : L'avènement de la TR4"
}), _jsxs("div", {
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children: [_jsxs("div", {
children: [_jsx("h3", {
children: "Une présentation révolutionnaire"
}), _jsx("div", {
children: _jsxs(_components.p, {
children: ["La présentation de la nouvelle Triumph TR4 au Salon de l'Automobile de Londres en 1961 fait sensation.\n", _jsx("b", {
children: "Le design imaginé par Michelotti est une véritable rupture : ses lignes angulaires et résolument modernes\ntranchent radicalement avec les courbes plus classiques des TR précédentes."
})]
})
}), _jsx("div", {
children: _jsx(_components.p, {
children: "La carrosserie arbore un profil tendu, caractérisé par des flancs imposants et des passages de roues\nau dessin carré. Les \"sourcils\" distinctifs au-dessus des phares confèrent à la voiture une allure\nsingulière et expressive, rappelant subtilement les \"yeux de grenouille\" des TR2 et TR3."
})
})]
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children: [_jsx("h4", {
className: "font-semibold mb-3",
children: "Innovations techniques majeures"
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children: _jsx(_components.p, {
children: "La TR4 s'appuie sur le châssis séparé robuste et la mécanique éprouvée de ses devancières,\ntout en intégrant des améliorations significatives :"
})
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children: [_jsx("li", {
children: "• Direction à crémaillère, offrant une précision accrue"
}), _jsx("li", {
children: "• Boîte de vitesses entièrement synchronisée"
}), _jsx("li", {
children: "• Overdrive disponible en option sur les trois rapports supérieurs"
}), _jsx("li", {
children: "• Habitacle revu pour plus de confort"
})]
})]
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children: [_jsx("h4", {
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children: "Motorisation et performances"
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children: [_jsx("li", {
children: "• Moteur : 4 cylindres de 2138 cm³"
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children: "• Puissance : 105 chevaux DIN à 5000 tr/min"
}), _jsx("li", {
children: "• Vitesse maximale : jusqu'à 190 km/h"
}), _jsx("li", {
children: "• Accélération : 0 à 100 km/h en 10,7 secondes"
})]
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children: [_jsx("h4", {
className: "font-semibold mb-3",
children: "L'accueil du public"
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children: [_jsx("li", {
children: "• Succès immédiat en Europe"
}), _jsx("li", {
children: "• Marché américain initialement plus réservé"
}), _jsx("li", {
children: "• Production totale : 40 253 exemplaires"
}), _jsx("li", {
children: "• Reconnaissance de son design moderne"
})]
})]
})]
})]
})
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children: [_jsx("h2", {
children: "L'évolution vers la TR4A : Confort et Suspension Indépendante"
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children: [_jsx("h3", {
children: "1965 : L'arrivée de la TR4A"
}), _jsx("div", {
children: _jsx(_components.p, {
children: "En 1965, face à une concurrence de plus en plus affûtée, notamment de la part des constructeurs italiens\n(Alfa Romeo Giulia Sprint, Fiat Cabriolet Pininfarina, Lancia Fulvia Coupé), Triumph procède à une mise\nà jour majeure et lance la TR4A."
})
}), _jsx("div", {
children: _jsxs(_components.p, {
children: [_jsx("b", {
children: "La nouveauté la plus significative est l'intégration d'une suspension arrière indépendante (IRS)"
}), ",\nqui remplace l'essieu rigide traditionnel. Cette amélioration, empruntée à la berline Triumph 2000,\ntransforme radicalement le comportement routier de la voiture, offrant un confort et une tenue de route\nbien supérieurs, désormais à la hauteur de ses rivales."]
})
}), _jsx("div", {
children: _jsx(_components.p, {
children: "Le châssis est légèrement modifié pour accueillir cette nouvelle architecture."
})
})]
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children: [_jsxs("div", {
children: [_jsx("h3", {
children: "Autres améliorations de la TR4A"
}), _jsx("div", {
children: _jsxs("ul", {
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children: [_jsx("li", {
children: "• Une nouvelle distribution et des collecteurs optimisés qui apportent quatre chevaux supplémentaires au moteur"
}), _jsx("li", {
children: "• Un tableau de bord en bois verni, ajoutant une touche d'élégance à l'habitacle"
})]
})
})]
}), _jsxs("div", {
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children: [_jsx("h4", {
className: "font-semibold mb-3",
children: "Comment identifier une TR4A"
}), _jsxs("ul", {
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children: [_jsx("li", {
children: "• L'inscription \"IRS\" est visible à l'arrière du véhicule"
}), _jsx("li", {
children: "• La grille de calandre est légèrement redessinée"
}), _jsx("li", {
children: "• Les clignotants sont déplacés sur les ailes"
}), _jsx("li", {
children: "• Présence d'une planche de bord en bois verni"
})]
})]
})]
})]
})
})
}), "\n", _jsx("section", {
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children: "La naissance de la TR5 : L'ère du 6 cylindres"
}), _jsxs("div", {
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children: [_jsx("h3", {
children: "L'évolution vers plus de puissance"
}), _jsx("div", {
children: _jsx(_components.p, {
children: "Afin de maintenir sa compétitivité et d'exploiter pleinement les qualités du châssis (notamment avec l'IRS),\nTriumph décide d'augmenter la puissance de sa sportive. Le quatre cylindres atteint ses limites face\naux nouvelles exigences du marché."
})
}), _jsx("div", {
children: _jsxs(_components.p, {
children: [_jsx("b", {
children: "La solution réside dans l'intégration d'un moteur six cylindres de 2,5 litres"
}), ", dérivé de celui\nde la berline 2000. Conçu dès l'origine pour recevoir un système d'injection, il délivre une puissance\nimpressionnante de 150 chevaux."]
})
})]
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children: [_jsxs("div", {
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children: [_jsx("h4", {
className: "font-semibold mb-3",
children: "Performances de la TR5"
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children: [_jsx("li", {
children: "• Une augmentation de 46 chevaux pour un poids quasi identique"
}), _jsx("li", {
children: "• Atteinte de la barre des 200 km/h"
}), _jsx("li", {
children: "• Une souplesse et une onctuosité de conduite accrues"
}), _jsx("li", {
children: "• Un échappement à double sortie, offrant une sonorité caractéristique"
})]
})]
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children: [_jsx("h4", {
className: "font-semibold mb-3",
children: "Accélérations impressionnantes"
}), _jsxs("ul", {
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children: [_jsx("li", {
children: "• Moins de 17 secondes sur 400 mètres départ arrêté"
}), _jsx("li", {
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}), _jsx("li", {
children: "• 0 à 100 km/h en seulement 9 secondes"
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children: "• Un comportement routier qui reste survireur"
})]
})]
})]
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children: [_jsx("h4", {
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children: "La version américaine : TR250"
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children: [_jsx("div", {
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children: "Pour le marché nord-américain :"
})
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children: "• Version adaptée aux normes de dépollution"
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children: "• Deux carburateurs double corps à la place de l'injection"
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children: "• Taux de compression abaissé à 8,6"
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children: "• Puissance réduite à 125 chevaux"
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children: [_jsx("div", {
children: _jsx("b", {
children: "Production et commercialisation :"
})
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children: [_jsx("li", {
children: "• 8484 exemplaires de la TR250"
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children: "• 2947 exemplaires de la TR5 (version 150 ch)"
}), _jsx("li", {
children: "• Prix raisonnable de 19 900 F à l'époque"
}), _jsx("li", {
children: "• Fin de production en novembre 1968"
})]
})]
})]
})]
})]
})
})
}), "\n", _jsx("section", {
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children: [_jsx("h2", {
children: "L'héritage d'une icône : la TR4 et ses descendantes"
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children: [_jsxs("div", {
children: [_jsx("h3", {
children: "Une fusion réussie"
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children: _jsx(_components.p, {
children: "La Triumph TR4 incarne une fusion réussie entre la tradition automobile britannique et l'inventivité\nstylistique italienne. Elle demeure une réussite esthétique majeure signée Michelotti, tout en conservant\nl'esprit sportif qui caractérisait les roadsters anglais."
})
}), _jsx("div", {
children: _jsxs(_components.p, {
children: [_jsx("b", {
children: "La TR4 a laissé son empreinte en modernisant l'expérience de conduite des roadsters"
}), ", offrant\nun raffinement et un confort accrus sans compromettre le caractère sportif qui faisait leur charme.\nSon influence est palpable sur les modèles ultérieurs, notamment la TR6, qui en reprendra certains\ntraits tout en évoluant vers des formes plus contemporaines."]
})
})]
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children: [_jsx("h4", {
className: "font-semibold mb-4",
children: "Chiffres de production emblématiques"
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children: [_jsx("span", {
children: "TR4"
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children: "40 253"
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children: _jsxs(_components.p, {
children: [_jsx("b", {
children: "Pour les amateurs de voitures de collection :"
}), " La TR4 demeure accessible sur le marché de l'occasion,\navec de beaux exemplaires se négociant généralement entre 15 000 et 25 000 €, selon l'état et les équipements."]
})
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})
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}), "\n", _jsx("section", {
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children: [_jsx("h2", {
children: "La fin d'une ère et un héritage sportif"
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children: "1968 : L'arrivée de la TR6"
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children: _jsx(_components.p, {
children: "La carrière de la TR5 s'achève en novembre 1968 avec le lancement de la TR6, un nouveau chapitre\nqui s'appuiera sur les fondations de la TR4 tout en intégrant un design et des technologies plus avancés."
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}), _jsx("h3", {
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children: "Un héritage durable"
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children: _jsx(_components.p, {
children: "La TR4 a marqué durablement l'histoire des roadsters britanniques, prouvant qu'il était possible\nde moderniser une voiture de sport sans altérer son essence."
})
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children: [_jsxs("div", {
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children: [_jsx("h4", {
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children: "Participation en compétition"
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children: [_jsxs("li", {
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}), " Participation aux 24h du Mans, démontrant la robustesse de son châssis"]
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children: ["• ", _jsx("b", {
children: "1961 :"
}), " 9ème et 11ème places aux 24h du Mans avec Les Leston et Rob Stolemaker"]
})]
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children: [_jsx("h4", {
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children: "Influence sur les modèles suivants"
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children: "• Certains éléments de son design ont été repris par la TR6"
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children: "• La suspension IRS est devenue un standard"
}), _jsx("li", {
children: "• Le moteur 6 cylindres développé pour la TR5 a perduré"
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children: "• L'esprit sportif a été fidèlement perpétué"
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})]
})]
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}), "\n", _jsx(BackToTop, {})]
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function MDXContent(props = {}) {
const {wrapper: MDXLayout} = Object.assign({}, _provideComponents(), props.components);
return MDXLayout ? _jsx(MDXLayout, Object.assign({}, props, {
children: _jsx(_createMdxContent, props)
})) : _createMdxContent(props);
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return {
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function _missingMdxReference(id, component) {
throw new Error("Expected " + (component ? "component" : "object") + " `" + id + "` to be defined: you likely forgot to import, pass, or provide it.");
}